Je suis tombé, encore une fois, sur cette BD par hasard, exposée dans la bibliothèque du boulot dans le cadre d’une nouvelle exposition (et j’ai beaucoup de chance, la sélection y est formidable).
Cinq mille kilomètres par seconde de Manuele Fior a obtenu le fauve d’or en 2011 (Angoulême), ce qui est quand même généralement plutôt bon signe, et nous raconte l’histoire d’un triptyque de jeunes, Lucia, Nicola et Piero, qui vivent leur adolescence et leurs premiers émois, jusqu’à l’heure des départs, vers la Norvège pour l’une, et l’Egypte pour l’autre (et vers l’âge, pour les trois). Peu loquace, la BD parle peu, mais s’en e aisément par une utilisation novatrice et tout simplement magnifique de l’aquarelle, qui permets de dépeindre l’ambiance, le pays et les paysages, de par la simple gamme de couleur choisie.
Une excellente découverte à lire, relire (et aussi juste à irer).
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Créée
le 10 juil. 2016
Critique lue 228 fois
En refermant Cinq mille kilomètres par seconde, on se dit qu'il ne faut pas forcément beaucoup de mots pour raconter une belle histoire. Les dessins et les couleurs de Manuelle Fior sont magnifiques...
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le 20 févr. 2012
8 j'aime
Pour aborder un sujet aussi délicat qu'une relation à distance, il faut l'avoir vécu. Pour comprendre cette bande dessiné et verser cette larme à la fin, je pense qu'il faut vivre cette expérience...
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le 14 juil. 2011
7 j'aime
1
cet ouvrage traite d'histoire d'amour à travers les ages et parfois à des kms de distance, de nouvelles vies, de nouveaux lieux... les cases sont sublimes, je me suis arrêtée plusieurs fois pour les...
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le 22 juin 2011
4 j'aime
Voilà. Malgré l'ignoble Aladin par Kev Adams et le supplice des quatre fantastiques , il aura fallu attendre les tout derniers jours pour se taper la pire purge de l'année 2015, montrant bien que...
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le 27 déc. 2015
14 j'aime
Il va falloir songer à faire cesser cette nouvelle mode Hollywoodienne de « prendre un film, mettre une madame et refaire exactement comme celui d’avant mais en moins bien ». Mais pas aujourd’hui,...
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le 12 juin 2019
13 j'aime
4
L’école est finie nous joue le syndrome du grand partage (donc en gros si vous n’avez pas le temps : piétiner allègrement le message qu’on voulait faire er par une réalisation et des personnages...
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le 13 août 2018
13 j'aime
3
