Il laisse un peu de marbre ce tome. J'ai déjà oublié ce qu'il s'y e.
Il y a quelques idées qui restent en tête, mais au final, tout est pauvrement exploité, ça ne va jamais assez loin, certaines scènes sont trop rapidement exploitées. Le récit n'est pas hyper convaincant non plus, ça manque d'interactions entre les personnages, c'est très linéaire et tout se e comme l'auteur l'a décidé et non comme les personnages le veulent.
Graphiquement, il y a quelques maladresses : parfois Hébus paraît plus petit que d'autres personnages humains, juste parce qu'il est couché. Pour le reste c'est correct, à part les femmes que Tarquin ne sait pas dessiner. On trouve quelques cadrages sympas mais ça paraît assez programmé, assez peu inventif, assez convenu. Au final, ce que j'ai le plus apprécié, visuellement, c'est le jeu de couleurs, notamment les cieux rougeâtres. Notons également que le texte paraît parfois écrasé dans des phylactères trop petits.
Bref, ça se lit, ça s'oublie.
Créée
le 9 mai 2018
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