Mouais.
Un univers à la croisé des BD de mémoire morte de Marc Antoine Mathieu et de la bd Le Grand vide de Léa Murawiec. Il est vrai que j'ai eu du mal à ressentir des émotions en lisant Un Visage...
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le 2 avr. 2025
Elle doit lire des plaintes à longueurs de journées, c'est son taf. C'est monotone et déprimant. Le livre est rythmé de manière régulière : le quotidien du perso principal/une plainte lue. La répétition de la mise en scène traduit bien l'état d'esprit assez gris du protagoniste. Qui malgré une forme physique évolutive au gré des mises à jour (les persos bénéficient de transhumanisme ?) respire peu la joie de vivre.
A la lecture d'une plainte de sa copine, la considérant comme sans émotion, sans réactivité, notre personnage principal ira à sa recherche.
Voilà, malgré un graphisme chatoyant, le livre sent le mal être et la déprime.
Créée
le 12 mars 2023
Critique lue 22 fois
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