La perfection ne s'explique pas, elle s'écoute
Plutôt que de faire un long discours sur l'histoire tout bonnement incroyable de Sixto Rodríguez, je vais laisser ceux que cela intéresse consulter sa fiche Wiki plutôt bien faite : http://fr.wikipedia.org/wiki/Sixto_Rodriguez
Je n'ai découvert l'existence de ce génie (L'emploi de ce mot est souvent galvaudé mais ici tout à fait approprié) qu'il y a quelques semaines par l'intermédiaire de l'excellente émission "On aura tout vu" de Inter consacré au documentaire "Sugar Man" (http://senscritique.accedersite.com/film/Sugar_Man/439297).
Les quelques morceaux que j'ai entendus ce jour-là m'ont littéralement sidéré et j'ai donc immédiatement commandé les rééditions de ses deux albums "maudits" ainsi que cette BO du documentaire de Malik Bendjelloul..
Ce que j'ai ressenti dès la première écoute est difficilement descriptible. Mon dernier souvenir d'une telle sensation remonte à la première fois que Johnny Cash a sonné à mes oreilles. L'impression incroyable de se trouver face à une quasi-perfection, et cela pour chacun des morceaux.
Mais après tout la musique, surtout quand elle atteint ce degré de plénitude, ne s'explique pas, elle s'écoute, alors... http://youtu.be/xwUlvxyLWkY
En espérant maintenant que le bouche à oreilles permette au documentaire d'arriver jusqu'à chez moi.
Et hop un joli petit bonus : http://www.empowerme.tv/interview-lance-sloane-talks-h/