Un album pas forcément déplaisant mais qui manque de couleur et où Dinos, réputé pourtant lyriciste, semble avoir abandonné sa plume pour des textes plus bruts, sans relief.
On apprécie cependant le feat Chelsea avec Josman qui rappelle légèrement Macabres avec Dosseh , et Noir fluo.
Sur Kintsugi, Dinos chante quasiment autant qu'il ne rape... Pourquoi ne pas revenir aux fondamentaux ?
Un point positif enfin : la très jolie cover.
Kintsugi, l'art de sublimer les cicatrices mais qui ne tient pas ses promesses.