Si globalement « Black give to blue » est plutôt inégal et n’atteint pas le degré d’émotion et de classe que pouvait générer Alice in Chains dans les années 90, il contient d’excellents ages tout en subtilité et en grâce qui évoquent subrepticement la gloire ée du groupe.
Sans être aussi émouvant et torturé que Staley, William Duvall se montre un excellent chanteur.
Inscrit dans son époque, « Black give to blue » fera er un très bon moment principalement à cause de ses ballades de grande qualité, pareilles à de purs rayons de soleil crevant timidement un ciel triste chargé de lourds nuages gris.
On saluera donc cet album faisant figure de renaissance pour un groupe maudit et convalescent sortant de plusieurs années d’enfer.
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