Amené à l'écouter grâce à un camarade de lycée (ce camarade était une incarnation du titre des Dogs "Too much class for the neighbourhood") qui les avait vus aux Transmusicales de 1988 (je crois), j'ai pu réécouter ce disque à plusieurs reprises, et à chaque fois je suis pris par l'énergie, la vigueur, la foi qu'il y a dans cet album.
Produit par Clive Martin (Les Negresses Vertes, Red Cardell, Silmarils, Dolly, Les Wampas, Superbus...), c'est un album qui mérite largement d'être écouté : la voix de Laurence Carrington-Windo impeccablement posée, déterminante ; la guitare de Ian Dench, en réponse parfaite, énergique, nerveuse ; la batterie, la basse (Shane Young, Tim Harvey) pour soutenir, bien présents, justes.
C'est vraiment impeccable !! Je trouve que ça n'a pas pris une ride (ou alors elles sont belles à voir) et me fait penser aux Dogs, justement : qualité des arrangements et du son, variétés des thèmes et des couleurs, justesse de chaque instrument, voix qui emmène tout, son clair et net.
... Le seul doute que j'ai à propos de disque et de mon écoute : quelle part de mon plaisir repose sur une nostalgie, une affection, ou à ce qui venait de ce camarade... ?
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Créée
le 25 févr. 2019
Critique lue 67 fois
1 j'aime
Les scènes sont truffées de détails suggestifs censés rendre compte de ce qui fait partie du livre, cette sorte de beauté morbide. On pourrait trouver cela un peu lourd, mais c'est d'une telle...
Par
le 22 oct. 2012
10 j'aime
C'est totalement déjanté. Ça peut faire penser à ce qu'aurait pu être la possession, par les esprits des Monty Python, de corps de gamins de 5 ans, jouant avec des figurines en plastiques. Ou...
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le 7 mai 2013
7 j'aime
Comment la vie -le temps qui e- peut-elle abîmer ce qui est beau ? Comment ce qui paraît inattaquable s'écroule ? Pourquoi sont-ils és, tous les deux, d'une telle intensité lumineuse à cette...
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le 23 juil. 2012
6 j'aime
