Le nez dans le ciel
… on rit, on pleure, on fait ce qu’on a à faire. Harry Dean Stanton version Shibuya nous montre que décidément : on ne peut pas être tranquille. La tendresse, l’amour, le deuil, les séparations nous...
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le 18 mai 2025
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… on rit, on pleure, on fait ce qu’on a à faire. Harry Dean Stanton version Shibuya nous montre que décidément : on ne peut pas être tranquille. La tendresse, l’amour, le deuil, les séparations nous...
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le 18 mai 2025
Les substances, la mort et la solitude, le ciment et la soif, et comme un sentiment de tristesse croissant à la lecture de ces courts récits semblant tous se dérouler dans un pays niçois universel,...
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le 3 mai 2025
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Scandinaves, regards fixes, traumatismes refoulés au programme, on n’est pas dépaysés depuis Bron ou The Killing. L’héroïne a quand même tendance à sauver le monde entre chaque pause clope, en mode...
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le 29 avr. 2025
surtout à la fin. Donc certains abrègent, résument. Au nom de la vie, de l’amour, du couple, de la mémoire de ce qui a uni, plutôt que de rester au milieu de signes qu’on refuse, de mots sans plus...
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le 29 avr. 2025
on imagine le narrateur de Gros Câlin. Adolescent. De son enfance auprès de Madame Rosa, comme un double de la Mère dans la « promesse de l’aube ». On retrouve le besoin d’embarrasser l’humanité,...
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le 23 avr. 2025
vers des propositions. Les causes sont connues. Mais il m’a fallu un moment pour lire le « comment empêcher ». Le propos est certes très compréhensible mais les solutions semblent flotter dans un...
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le 21 avr. 2025