Critiques de Oblomov

9

Editore, traditore

Je sais pas vous, mais moi je préfère les Folio aux Livre de Poche. Je les trouve plus jolis, doux, trapus dans la main. Devil in the details. J'achetai donc ce bel Oblomov sans même y réfléchir. En...

Par

le 22 déc. 2012

68 j'aime

68

8

Pour vivre heureux, vivons couchés

J'étais franchement étonné que le roman Oblomov ne soit connu que d'une frange minimale d'initiés alors qu'en Russie il est un classique des plus connus, au même titre que les livres de Tolstoï,...

Par

le 3 déc. 2018

30 j'aime

14

9

Où sont les rêves de jeunesse ?

L'art de la paresse est plus difficile à décrire que l'on ne croit, la meilleure preuve en étant que trois livres qui l'abordent en font trois portraits différents. La paresse est d'abord une...

Par

le 26 sept. 2017

24 j'aime

8

Tu as raison, Andreï, je suis comme une boule...

"Oblomov eût bien apprécié la propreté, mais à condition qu'elle s'installât d'elle-même, sans qu'il s'en aperçoive." - Avouez que cette phrase est irrésistible! - J'ai vaincu. J'ai lu Oblomov de...

Par

le 14 avr. 2016

17 j'aime

2

10

Le Silence de la Mère

Oblomovisme : un mot bien connu des russophiles, mais qui n'est pas encore entré officiellement dans la langue française ; en tout cas, on n'en trouve nulle trace dans notre bon vieux Larousse,...

le 23 janv. 2020

10 j'aime

6

9

Critique de par jerrej

Oblomov, c'est d'abord et surtout le nom même du protagoniste, un homme d'une trentaine d'années, déjà fané et éteint, fonctionnaire au zèle plus que douteux, et qui e le plus clair de son temps...

Par

le 9 août 2015

10 j'aime

1

7

Critique de par Pelomar

Cas difficile que celui d'Oblomov. Le postulat de départ est original -ou en tout cas, j'ai jamais lu quelque chose dans ce style- et absolument hilarant (de mon point de vue) : Oblomov est un petit...

Par

le 7 nov. 2012

10 j'aime

1

10

Inventer un personnage par le néant

Comment faire un portrait ? Gontcharov me l'apprend. Il écrit Oblomov comme ces toiles où les traits du visage n'apparaissent que par l'effet d'un incompréhensible mirage que la peinture opère...

le 26 mai 2021

7 j'aime

10

Critique de par nuca

Le personnage principal, Oblomov (qui a inspiré le néologisme d'oblomovisme), est un rentier vivant à Saint-Pétersbourg et qui e ses journées entières au milieu de son divan. Si au début, on a...

Par

le 7 août 2011

7 j'aime

6

...ou comment être infectée par un caractère

Appelez-moi Oblomova. Comme lui, j'ai souvent la flemme. Je n'ai donc pas fini le pavé relatant son histoire. Allez, faute avouée, à demie pardonnée ? (promis je m'y remets dès que j'ai un peu de...

le 22 mars 2013

6 j'aime