Critiques de Getting Over It With Bennett Foddy

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LE DARK SOULS DES JEUX FLASH

Peut-être vous souvenez vous des jeux flash, reliques d'une époque où les tablettes, les smartphones, et le Playstore n'existaient pas et où le seul moyen de s'am rapidement et sans payer était...

Par

le 15 déc. 2017

21 j'aime

1

4

Born to lose

Getting Over It With Bennett Foddy fait partie de cette immense (euphémisme..) gamme de "jeux-blagues" dispos sur Steam. Il s'agit bien souvent de jeux pas très recherchés, pensés pour être streamés...

le 26 déc. 2017

5 j'aime

3

Entre Frustration et perte de temps

Addictif, mais pas de grande rejouabilité Frustrant, mais pas satisfaisant Dur, mais difficulté débile Marrant 30 secondes, le jeu devient vite frustrant et ne relève aucun interêt (Contrairement à...

Par

le 19 déc. 2017

4 j'aime

6

Starting over is harder than starting up

Grimper une montagne. Avec une masse. Avec un Monsieur Propre, cul-de-jatte, dans un chaudron. Dès le premier visuel, on sent que le jeu de Bennett Foddy est fait pour faire parler de lui, pour...

le 5 févr. 2018

2 j'aime

7

Aurez-vous la patience nécessaire pour finir ce jeu ? Un jeu réussi mais pas si excellent que ça.

Comme beaucoup d'entre vous, c'est en me baladant sur Youtube que j'ai découvert ce jeu. Et, comme beaucoup d'entre vous, j'ai voulu prouvé ma valeur en finissant ce jeu (une intuition peut-être, je...

Par

le 23 janv. 2020

1 j'aime

4

Critique de par gregouuze

Il faudrais que les controle sois plus stable et que le jeu ai moin de difficulter

Par

le 16 déc. 2021

9

le plaisir de l'effort !

Typiquement un jeu qui me satisfait dès les premières secondes de jeu ! Très bien, car j'imagine que pour certains, c'est seulement les seules secondes qu'ils donneront à un jeu de la sorte ! Bien...

le 19 juil. 2019

8

Tirez votre force de votre rage

Au début, c'est très frustrant, ensuite...ça l'est encore plus. Il faut d'abord s'habituer aux contrôles. Votre souris, est le bout du marteau. C'est un travail de patience, de contrôle de la colère...

le 17 janv. 2018