Critiques de La Jeunesse de la bête

7

D'estoc et détails

Chez les gangsters de Suzuki, le règle est simple : pas de milieu dans le Milieu. Soit c'est énorme, ça hurle, ça explose, ça grimace, soit c'est minuscule et ça se cache dans les coins. Et un peu...

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le 17 juin 2011

18 j'aime

20

7

L'Infiltré

La Jeunesse de la Bête se révèle être une oeuvre particulière, où un scénario assez confus déroute presque autant que la mise en scène est sublime à bien des égards. Pourtant, le scénario débute...

le 21 août 2020

16 j'aime

6

Suzuki veut gagner des moignons

Des années que j'attendais ça, mon dépucelage Suzuki qu'un sort malin m'empêchait depuis longtemps de jeter aux orties... Conditions optimales : un hôte et des convives d'exception, des raviolis...

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le 17 juin 2011

14 j'aime

12

8

Critique de par drélium

C'est presque l'opposé de La marque du tueur. Cette fois-ci, on a droit à un scénario très ficelé, énigmatique au possible, avec retournements de chemise à tous les étages, qui ne se révèle...

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le 17 juin 2011

13 j'aime

9

6

Hamster jovial

Franchement déçu par ce Suzuki. Le néofan que je suis était tout excité à l'idée de voir la Jeunesse de la bête avec les potos du ciné-club. En plus, Scritch et Gizmo, amoureux de Suzuki de la...

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le 20 juin 2011

11 j'aime

12

7

Semiotics of Suzuki

A comme anesthésie (sans) B comme bajoues, baiser, bicolore C comme costard, chat, call-girl D comme drogue, double-jeu E comme écran, escalier F comme fleur, fouet, 6ème femme G comme gang H comme...

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le 18 juin 2011

10 j'aime

7

7

Chouette!

Ma culture ciné étant plus tout à fait vierge mais sans cesse éprise de nouvelles expériences, elle accueille en son sein des oeuvres qu'elle ne sait pas toujours par où prendre... Partagée qu'elle...

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le 2 avr. 2024

9 j'aime

6

7

Film noir à la Japonaise

Le film noir à la japonaise : c’est ainsi qu’on pourrait qualifier le cinéma de Seijun Suzuki. Un héros charismatique, des femmes vénéneuses, des situations complexes, des règlements de compte, voilà...

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le 28 mars 2025

3 j'aime

8

Critique de par Cinemaniaque

Plus sérieux que Détective bureau 2-3 mais aussi plus radical dans son scénario et son traitement, La jeunesse de la bête est à la fois un film noir baroque et pop et une critique virulente des films...

le 9 déc. 2010

3 j'aime

9

Attention, chef d'oeuvre !

L'étincelant et coloré swinging Tokyo voit évoluer Joe Shishido en héros barbare dans une histoire quasi-incompréhensible où les intrigues chevauchent les intrigues. Des gangsters en costumes qui se...

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le 14 mars 2011

2 j'aime